voici le fantome de henry VIII
vers le palais de Hampton Court, ancienne résidence du roi Henri VIII d'Angleterre. Le château, qui a toujours eu la réputation d'être hanté, fait la une des journaux anglais, qui publient des photos d'une silhouette fantomatique, prises par une caméra de surveillance. Fantôme ? Les clichés plutôt troubles montrent une silhouette vêtue d'un long manteau, en train de refermer une porte de secours de ce palais, au sud-ouest de Londres. A plusieurs reprises, les gardiens du palais avaient été intrigués par cette porte, surveillée par une caméra, et qui s'ouvrait parfois de façon inexpliquée. En octobre dernier, ils ont eu la surprise de découvrir sur leur écran de contrôle cette image mystérieuse. "J'ai eu un choc en voyant les images de la caméra de surveillance qui montraient une silhouette sinistre en manteau d'époque, a raconté l'un des gardiens. Ça faisait vraiment froid dans le dos parce que le visage n'avait pas l'air humain. Ma première réaction a été de penser que quelqu'un faisait une farce. J'ai demandé à mes collègues de jeter un oeil. Nos guides ont des costumes d'époque mais pas comme celui de la photo."
Pour un professeur, cité par le Daily Telegraph, il s'agit "soit d'un coup de pub du palais, soit d'un visiteur qui a voulu se rendre utile en refermant la porte". Mais, en revanche, The Sun pense déjà qu'il s'agit du fantôme de Henri VIII !
"La période autour de Halloween est la plus active pour les apparitions de ce genre", explique Terry O'Sulliban, "expert renommé en fantômes" au Collège britannique de parapsychologie. "C'est la période de l'année où le voile entre notre monde et l'autre monde est le plus fin. Il me paraît tout à fait crédible que ce soit le fantôme de Henri VIII", assure-t-il
Une vie aprés la mort? dificile a croire quand même somme nous forcé a le croire ! non chacuns a son choix, ils y a les pérsonnes qui dits avoir vu un fantômes seule eux avec leurs unique expérience du surnaturelle peuvent vraiment le confirmer, auprés de qui? une autre pérsonne qui dit en avoir vu lui aussi, mais le doute du menssonge restera toujours la. pouron nous un jours confirmer si cela es vraie?
les fantomes existe t'ils? dieux, les OVNI, esprit, maison hantee, l'origine de l'univers...
non ! nous ne pourons j'amais le savoir car il manquera toujours un mallion a la chaine de l'homme, si nous on existe en tant que vivant autre pars il y aurai t'il pas une autre vie je ne parle pas ici de fantômes ou autre, mais réellement d'une vie, si ont ce met bien en tête que l'univers et a ce jour considérer comme infini j'en suis presque sur que nous ne somme pas seul et la ! un jours peut êtres que se sera pas par nous que certainnes réponses nous sera ditent. mais bien par une autre vie, au lieux de comprendre temps de mystéres qui son juste devant nos yeux, l'homme préfére conquérire le pouvoir, l'argent toujours sur ca petite terre mais si seulement chacuns de nous se poserais ses quéstions une fois de temps en temps car nous qui somme nous????
vous connaissai 3 hommes et un couffin?
le tournage de se film a etes tournée dans un appartement, seulement voila si ont regarde le film image par image ont peux voir un garçon regarder par la fenétre du balcon, le réalisateur c'est posez des quéstions de ou venais se petit garçon? alors il a chercher et apris que un garçon etais mort dans cette apparte quelque mois avant le tournage se petit garçon etais donc tomber du balcon mystere pourquoi ce petit garçon regarderais t'il le tournage?
Le poltergeist:
En allemand, le terme Poltergeist signifie " bruit de fantôme ". En effet, les expériences de Poltergeist sont souvent bruyantes cependant leurs sources ne sont pas des entités fantomatiques. La cause des phénomènes de Poltergeist est la plus part du temps due à une personne et quelques fois à un groupe de personnes. Les études depuis 1950 semblent démontrer que l’agent impliqué dans une situation de Poltergeist est souvent impliquée dans une situation psychophysiologique instable
Quelque cas de poltergeits.
CAS DE SILVIA GIARDI :
À Sienne, en Italie, en 1928, une jeune fille de 15 ans semble provoquer des chutes de pierres près d’un monument funéraire. On avait même fait installer autour du monument un cordon de police
CAS DE VIRGINIA CAMPBELL :
En Ecosse, en novembre 1960, Virginia Cambell une jeune adolescente de 11 ans, devant huit témoins semble être la cause de coups provenant de la tête de son lit. Les témoins assisteront même au déplacement d’une lourde commode, dans la chambre de la jeune fille
CAS DE JULIO :
Un jeune commis de 19 ans, dans un entrepôt de Miami ( Janvier 1967) semble responsable de la chute d’objets placés sur des tablettes. Wolman sera témoin de scènes d’objets se déplaçant qui tombaient des tablettes.
CAS DE SIGMUND ADAM en Novembre 1967 :
Un avocat allemand à Rosenheim, témoin de nombreux phénomènes au niveau de l’éclairage : les fusibles qui sautent, les ampoules et tubes de néons qui éclatent, les conversations téléphoniques sont interrompues. Les phénomènes semblent relié à une jeune secrétaire de 18 ans : Anne Marie Schneider. Le professeur Hans Bender de l’université de Freibourg , enquêteur chevronné en matière de Poltergeist pris en charge la situation. Deux physiciens installent un voltmètre pour prendre des mesures. L’instrument enregistrera des variations intenses de courant au moment même de la manifestation de bruits et d’étincelles . De plus on pouvait noter le mouvement de certains lustres et de certains tableaux accrochés aux murs.
Un des cas les plus conus:
Le poltergeist d'enfield:
En 1977, à Enfield, Royaume-Uni, vit la famille Harper, qui se compose de la mère, séparée du père, et de quatre enfants : Rose, 13 ans ; Janet 11 ans, Pete, 10 ans ; et Jimmy 7 ans.
Le soir du 30 août, les lits de Pete et Janet, qui dorment dans la même chambre se mettent à bouger.
Le soir suivant, Mrs Harper découvre la commode de la chambre en train de se déplacer toute seule sur une cinquantaine de centimètres.
Elle fait venir les voisins, qui constatent qu’on entend les coups mystérieux, puis elle appelle la police.
Celle-ci ne peut rien faire.
Le lendemain, vers la même heure, ce sont les jouets des enfants qui sont lancés par une main invisible.
L’entourage avertit alors la presse et la rédaction du Daily Mirror contacte la Society for Psychical Research, laquelle dépêche un de ses membres, Maurice Grosse.
Sous leurs yeux, jets et chutes d’objets se poursuivent.
Une femme médium vient dans la maison.
Au cours d’une transe, elle affirme que la hantise est centrée sur la petite Janet et que plusieurs « entités » puisent leur énergie dans les auras de Janet et de sa mère.
La médium les « soigne » et les manifestations cessent alors presque totalement pour plusieurs semaines.
A la fin du mois d’octobre, tout recommence, cette fois avec plus de violence.
Des meubles sont déplacés, des couvertures arrachées aux lits, des flaques d’eau (dont une aux contours de silhouette humaine) apparaissent sur le sol de la cuisine, une grille de cheminée tombe sur l’oreiller de Jimmy, tout près de sa tête, un radiateur à gaz est arraché d’un mur.
Grosse et Playfair essaient, au moyen d’un système de bruits, de communiquer avec l’ « entité », qui dit avoir vécu trente ans dans la maison puis se lance dans des discours dépourvus de sens.
Plus tard, les enfants voient des silhouettes et des ombres dans la maison.
Devant de nombreux témoins, l’ « entité » malmène un peu les deux fillettes et laisse un message disant qu’elle refuse de partir.
Pendant que le poltergeist pourrait être l’œuvre de Rose et Janet, la Society for Psychical Research envoie cette fois une équipe d’enquêteurs sur les lieux, mais leur recherche de la fraude éventuelle demeure sans résultat.
En fait, il devient clair que tout tourne autour de Janet.
Celle-ci présente de plus en plus de signes de « possessions » (convulsions, transes, etc.).
En décembre, le poltergeist ajoute des sifflements et des aboiements à sa panoplie et l’entité, par l’intermédiaire d’une étrange voix désincarnée, dit s’appeler Joe Watson.
Par la suite, elle change plusieurs fois de voix et d’identité ; mais toujours, elle insiste sur le fait qu’elle parle pour une personne morte.
Ses interventions sont, en outre, souvent d’une extrême grossièreté.
Le poltergeist montre plus tard d’autres talents et s’attaque de plus en plus violemment à Janet essayant de l’étrangler avec les rideaux et la poursuivant avec un couteau flottant en l’air.
Les lieux commencent à sentir mauvais, deux feux se déclarent dans des tiroirs, les deux poissons rouges sont tués dans leur bocal, et des messages obscènes apparaissent sur les murs.
Un autre médium vient alors s’occuper du cas en « soignant » les auras de toute la famille, et le calme revient pour quelques semaines.
La suite des événements prend la tournure d’une hantise plus « banale », avec apparitions fugitives de personnages divers, parmi lesquels un double de Maurice Grosse.
Janet fait un séjour à l’hôpital, au cours duquel l’activité du poltergeist se réduit considérablement.
Lorsqu’elle revient, en bien meilleure santé, le phénomène touche à sa fin.
Un médium hollandais du nom Gmeling-Meyling met un terme définitif aux manifestations après avoir opéré, dit-il, une intervention sur le « plan astral ».
Vers avril 1979, tout se termine enfin.
Quelle que soit l’explication à donner à ce poltergeist fameux (plus de 1 500 incidents enregistrés), il est à noter que l’on retrouve au départ une situation de forte tention née du divorce récent des parents ainsi que des enfants approchant de la zone de turbulence mentale et physique de la puberté.
L’histoire du phénomène montre qu’il se développe souvent sur ces bases-là.